Andrea Arnold frappe à nouveau très fort avec son deuxième long métrage (...) Un film charnel et sans concession sur les affres de l'adolescence, porté par une inconnue qui crève l'écran.
Apre. Rauque. Tendu. (...) une oeuvre époustouflante (...) la mise en scène fait preuve d'une rare unité entre forme et fond.